mardi 11 janvier 2011

une interview que j'ai accordée à EL WATAN - Algérie

«Actuellement, le SCF dépasse les besoins de l'entreprise algérienne»
Mohamed Faker Klibi. Docteur en sciences comptables
Safia Berkouk
El Watan : 10 - 01 - 2011
Mohamed Faker Klibi est docteur tunisien ès sciences comptables et enseignant à l'ESSECT de Tunis. Il s'intéresse depuis longtemps à la possibilité d'adoption des normes internationales d'informations financières (IFRS) par les pays en développement en général avec pour objectif de définir ses perspectives, ses opportunités et ses enjeux. Le chercheur défend l'idée selon laquelle l'adoption des normes IFRS pour les pays en développement revêt d'autres intérêts que le simple souci de transparence et circulation de l'information comptable et financière des entreprises. L'enjeu serait d'envergure internationale et c'est ce qu'il nous explique dans cet entretien qu'il nous accorde.
-Vous développez l'idée que l'enjeu de la mise en œuvre de normes internationales en matière de comptabilité pour les pays en développement n'est pas seulement interne et en relation avec l'intérêt immédiat des entreprises. Pourquoi ?

Le système comptable international est conçu pour...lire la suite sur ce lien

1 commentaire:

Unknown a dit…

Félicitations pour l'interview que vous avez accordé à El Watan et que je trouve fort intéressante! En effet, j'estime que l'idée que vous avez développée à propos des besoins des sociétés algériennes en normes IFRS est tout à fait réaliste en ce sens que ces normes offrent un état de transparence qui dépasse actuellement les besoins de ces sociétés. Dans la même veine, je pense que l'idée est très pertinente et d'actualité pour le cas des sociétés tunisiennes qui, suite au changement de gouvernement, fort corrompu et qui a longtemps été en faveur d'un état d'asymétrie d'information, ont maintenant plus que jamais besoin de rendre compte avec beaucoup de transparence pour informer les utilisateurs des états financiers mais aussi le peuple et là naît un réel besoin en normes comme les normes IFRS. Bon courage donc monsieur Klibi dans cette nouvelle ère de transparence et bon courage à tous les activistes en matière de reporting financier pour asseoir une meilleure équité dans la répartition des richesses de la société.